mardi 5 mars 2013

En voyant une dame affligée d'une maladie orpheline, congédiée par son employeur pour "inaptitude" au travail", qui doit vivre avec un revenu de misère et voit sa fille suivre une route semblable, j'ai repensé à ce vieux dicton italien:
"Nel peggio, non ce fine" "Le pire est sans limite".

Autre note, de Sepulveda cette fois, sur la mentalité du picaro, l'antihéros littéraire, plutôt populaire et sans scrupule,:
"Je méprise ce que j'ignore"
par laquelle il décrit la mentalité des politiques de notre temps, en particulier Felipe Gonzalez.

Vaut aussi pour une certaine classe de "francophones" qui ont méprisé les flamands qu'ils n'avaient pas pris la peine de connaître, selon la réflexion, au combien fréquente, de celui qui n'aime pas les haricots:
"Je n'aime pas les haricots et j'en suis très heureux car si je les aimais, j'en mangerais et je n'aime vraiment pas ça."

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